
亭亭玉立碧波间
Expression pour admirer le lotus qui est un symbole de l’innocence, la beauté et de la pureté en Chine.
Traduction: Le lotus est dressé tout droit dans l’eau comme une jeune fille
Maître Li Guozhen et sa calligraphie en bambou
- 4 caractères: son prénom (2) et calligraphie en Bambou (2, attestant qu'il sagit bien d'une calligraphie en bambou, car il pratique également la calligraphie classique)
- un sceau comportant également les 4 caractères.
Au cours du salon de l’art à Singapour, Maître Li Guo Zhen a été reçu 4 fois de suite par M Wang Jin Hui, président de l’époque.
Des publications consacrées à ses œuvres dans plus de dizaine de journaux et revues de Chine et de l’étranger dont ‘Illustré de Peuple’, ‘Illustré de la Chine’, ‘Illustré de l’APL’, ‘Version Etrangère du Quotidien du Peuple’ etc.
Nombreux reportages lui ont également été consacrés dont la télévision Centrale chinoise, télévision de Anhui, Jiang Su, Zhe Jiang, Beijing, Qing Hui, Shan Dong ainsi que la télévision de Singapour et du Japon.
Maître Li Guo Zhen est également membre des associations suivantes :
- Association Nationale dramatique
- Association Nationale de calligraphie
- Association Nationale d’artistes et membre du Conseil de l’association de calligraphie de An Hui
- Membre permanent du conseil de l’Association Nationale dramatique de An Hui
- Membre du conseil du Fond de la Croix Rouge Chinoise,
- Et conseiller de la zone du Développement économique de Beijing.
Après les dynasties Tang et Song , ce style de calligraphie devenait peu à peu un art disparu et de moins en moins de personnes arrivaient à l’exercer.
Beaucoup de rapports historiques sur le style « Fei Bai » étaient perdus et très peu de pièces ont été sauvegardées.
Quel est le calligraphe contemporain qui exerce le style ‘Fei Bai’ ? Maître Li Guo Zhen
Ces pictogrammes ont été réformés sous l'empereur Xuan de la dynastie des Zhou pour devenir l'idéographie - une écriture uniformisée - connue alors sous l'appellation de Dazhuan (grand sigillaire). Cinq cents ans après, sur ordre du premier empereur des Qin, le chancelier Li Si a procédé à une nouvelle réforme, en créant Xiaozhuan (petit sigillaire). Celui-ci, qui s'écrivait difficilement, a été simplifié plus tard pour devenir le Lishu, l'écriture passant ainsi de la forme ronde à la forme carrée. Comme le Lishu était trop rigide, elle est revenue après à l'arrondi, qui permettait de créer le Kaishu (écriture régulière), le Xingshu (écriture courante) et le Caoshu (écriture cursive).
L'évolution des caractères chinois
Depuis lors, ces formes d'écriture sont utilisées à niveau égal et leur fusion merveilleuse a atteint son paroxysme sous les Jin (265-420) et les Tang (618-907).
Voici donc les cinq grands styles de calligraphie:
La dynastie des Jin était l'âge d'or de l'art calligraphique. Tenaient alors le devant de la scène les Wang père et fils, Wang Xizhi et Wang Xianzhi. Le premier a assimilé les qualités de ses précurseurs, notamment Li Si (Qin) et Cai Yong (Han) pour créer un style personnel. Le petit Wang, au même titre que son père, était sans égal de son temps. Son écriture est caractérisée par l'élégance et le charme. L'école Wang a exercé une grande influence sur les générations postérieures, qui prirent son style pour modèle.
Calligraphies de wang xianzh (haut) et Wang xizhi (bas)
La dynastie des Tang n'a rien à envier aux Jin. A ses débuts, elle comptait quatre écoles fameuses : Yu Shinan, Ou Yangxun, Chu Suiliang et Xue Ji. Dans leur foulée suivirent Yan Zhenqing et Liu Gongquan, deux grands calligraphes du milieu des Tang. Le premier a innové l'école Wang pour former un style qui lui était propre, tandis que le dernier a créé une nouvelle école en fusionnant les styles Ou et Yan.
Ces grands maîtres doivent leur renommée à l'assiduité et à la ténacité. Les contes foisonnent à ce sujet. Il dit que le calligraphe Zhang Zhiqin (Han postérieur) a noirci un étang limpide pour y avoir nettoyé fréquemment sa pierre à encre, que Zhi Yong, maître des Sui, a usé en 30 ans 5 grands paniers de pinceaux, que Yu Shinan (Tang) s'exerçait du doigt sur la couverture quand il était couché, de sorte que celle-ci s'est usée à force d'être frottée, et que Huai Su, n'ayant pas les moyens pour acheter le papier, a calligraphié sur des feuilles de bananier.
Après la naissance de la Chine nouvelle, l'art calligraphique s'est épanoui de plus belle.
L'écrivain Lu Xun et l'historien Guo Moruo se classaient aussi au premier rang des calligraphes contemporains. L'originalité calligraphique du paléographe lui valut « style Guo ». Son écriture force l'admiration tant des professionnels que des amateurs. Guo prit modèle sur les styles de Wei Zhongyao et de Wang Xishi pendant son jeune âge. Mais il n'en resta pas là : il fit siennes les qualités des diverses écoles pour créer un style original, dans lequel sont mélangées admirablement la vigueur et le naturel, la sobriété et l'élégance. La structure de son écriture n'est pas que digne d'intérêt. Suggestive, elle évoque diverses images. De nombreux monuments à Beijing portent des inscriptions calligraphiées de sa propre main. L'enseigne du Musée du Palais impérial est de sa plume.
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